Plenesses Club,
le zoning
Croissance
Informations générales
Implanté sur 175 hectares répartis sur le territoire des communes de Dison, Thimister-Clermont et Welkenraedt, la zone d’activité des Plenesses est idéalement située au cœur de l’Euregio Meuse-Rhin depuis plus de 30 ans. La surface de 175 ha est répartie de la façon suivante :
- 122 ha environ sur le territoire de Thimister-Clermont (70%)
- 44 ha environ sur le territoire de Dison (25%)
- 9 ha environ sur le territoire de Welkenraedt (5%)
L’appellation d’origine donnée à cette zone est “zoning de Verviers-Nord”. Celle-ci se transformera avec le temps en “zoning Les Plenesses” reprenant ainsi le nom du lieu-dit. Reconnu pour son dynamisme et bénéficiant du statut de zone franche urbaine depuis septembre 2007, le zoning des Plenesses a connu une croissance constante depuis les années nonante, passant de 22 sociétés en 1995 à plus de 140 en 2019.
Actuellement, un projet d’extension de la ZAE de plus de 50 hectares répartis équitablement sur les trois entités communales a été sélectionné par la Région wallonne qui reconnaît dans son étude préalable le caractère fortement attractif et dynamique de la zone qui génère près de 4000 emplois directs et plus de 6000 emplois indirects.
175
Sociétés
Le zoning en
quelques chiffres
Membres
Emplois directs
Emplois indirects
Superficie totale (ha)
LE ZONING des Plenesses bénéficie de :
Une très bonne localisation et un accès aisé (autoroutes, routes, gares, etc.)
Un Club d’entreprises dynamiques actif depuis 1996
D’excellentes infrastructures : restaurants, stations-services, etc.
Une plateforme gratuite de covoiturage
Des solutions de mobilités comme des lignes de bus express
Des entreprises de toutes les tailles et de tous les secteurs
Un peu d’histoire
Au fil des ans
1973
Début
L’histoire du zoning est ancienne puisqu’elle remonte à 1973. Époque à laquelle la SPI est à la recherche de terrains destinés à l’implantation d’entreprises.
Peu de temps après
Choix de la zone
Après études et repérages dans la région, la SPI fixe son choix sur une zone de
quelques 175 ha situés à cheval sur les communes de Dison, Thimister-Clermont
et Welkenraedt. Ce sont des terres agricoles et quelques PME isolées y sont déjà installées .
1979
Plan d’équipement de 9M€
Le démarrage du zoning va prendre des années pour l’expropriations et l’achat des terres agricoles mais également pour les études des infrastructures à réaliser.
En 1979, la SPI est propriétaire de 63 ha (36% du total) mais non d’un seul tenant et dresse un plan d’équipement général de près de 9 millions d’euros
1989
Premiers plans d’accès autoroutier
En 1989, les premiers plans d’un accès autoroutier pour le zoning à Elsaute sont dressés puis reportés dans l’attente d’un tracé définitif pour le TGV.
1990
Construction de la rue Zénobe Gramme
En 1990, le démarrage du zoning s’accélère par la construction d’une nouvelle rue (rue Zénobe Gramme) reliant Andrimont à la route des Plénesses, existante. Plusieurs entreprises viennent rapidement border la rue Zénobe Gramme.
1992
Affectation de 80 ha en zone de loisir
En 1992, 80 ha de la zone de Thimister-Clermont sont affectés en zone de loisirs. En effet, deux projets successifs y sont proposés : un parc de loisirs à thème puis un outlet-mall.
1998
Réaffectation de ces 80 ha en zone de industrielle
Après maintes péripéties, ces projets n’aboutissent pas si bien que les 80 ha sont réaffectés à l’activité industrielle en 1998. Pendant cette période, le développement de la partie Nord du zoning a évidemment été ralenti.
1994
Nouvelles voiries et bassin d’orage
Le développement d’infrastructures routières est nécessaire et en 1994 les rues suivantes voient le jour : rue de l’Avenir, sur Les Thiers et la Voirie de contournement (chemin de Xhénorie).
A cela, il faut ajouter un basin d’orage de 8.000 m³ destiné à recueillir les eaux pluviales de la partie basse du zoning.
1995
22 entreprises présentes
En 1995, le zoning compte 22 entreprises fournissant 429 emplois, mais les difficultés d’accès à la zone sont criantes et seul l’accès à partir d’Andrimont est correct. C’est pourquoi, en 1995 est construite la voirie principale (rue des 3 Entités) autour de laquelle pourront s’articuler d’autres artères dans le futur.
1996
Ouverture accès autoroutier nord
En 1996, l’accès autoroutier à Elsaute (côté Nord) est ouvert (vers Liège et venant d’Allemagne). Cependant, tout n’est pas satisfaisant puisque le futur accès principal au zoning se fait toujours attendre, rendant problématique le développement du zoning :
- La partie Sud de l’échangeur autoroutier à Elsaute (venant de Liège et vers l’Allemagne) toujours en attente du tracé définitif du TGV ;
- Le tronçon de route entre cet échangeur et la voirie principale (à cette époque, c’était un chemin de campagne très étroit qu’il a fallu mettre à sens unique pour des raisons de sécurité).
1996
Création du Plénesses Club
En 1996, a été mis sur pied un « club d’entreprises » où les dirigeants d’entreprises pouvaient se rencontrer pour apprendre à se connaître, pour parler de la vie de leur entreprise, pour s’entraider ou évoquer les problèmes inhérents à l’ensemble du zoning.
2000
Première journée “Portes ouvertes”
Le dynamisme de ces rencontres a atteint un maximum avec l’organisation d’une journée « Portes ouvertes » pour l’entièreté du zoning en 2000.
2003
Nouvelles infrastructures
A Elsaute, mise en service d’’un nouveau pont sur l’E40, de l’échangeur Sud, d’un rond-point et d’un accès direct vers le zoning.
Ouverture d’une nouvelle route de liaison (Bois-La-Dame) entre l’échangeur et la voirie principale (rue des 3 Entités)
Des voiries secondaires, pour accueillir de nouvelles entreprises sont aussi construites : rue du Progrès, rue des Nouvelles Technologies, rue Grondal en 2004, rue des Waides en 2006
Aujourd'hui
Développement continu
Le développement du zoning s’est accéléré ces dernières années grâce à tous ces travaux qui n’ont pu être menés à bien qu’avec l’étroite collaboration de la SPI, de la Région wallonne qui octroie des subsides pour la réalisation des infrastructures et des communes qui paient la partie non subsidiée.